L’étude de la BAD a en outre précisé que 4,2 milliards de dollars sont dédiés à l’adaptation aux changements climatiques, 14,4 milliards de dollars pour l’atténuation de ses effets et 5 milliards de dollars pour faire face aux pertes et dommages causés.
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Le document de la BAD met en exergue les différentes options possibles pour impliquer le secteur privé les financements, notamment les marchés de capitaux tels que les obligations vertes et le marché du carbone, le financement public-privé ainsi que la finance islamique et les produits financiers favorables aux investissements verts.
Selon la Banque Africaine de développement les obstacles tels que le manque de transparence sur la rentabilité des projets verts, les difficultés d’évaluation des risques et la longueur de maturation des investissements freinent son implication. La Banque africaine de développement estime que de nouvelles réglementations et incitations gouvernementales seront essentielles pour orienter le financement privé vers la croissance verte.
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Il est également noté que les 1 300 km de côtes tunisiennes accueillent plus des deux tiers de la population du pays, soit environ 12 millions d’habitants. Ce capital naturel offre un potentiel pour diverses formes d’énergie verte, allant de l’énergie solaire et éolienne à l’écotourisme et à l’agriculture biologique.