Les dégâts orchestrés par au lendemain du séisme daniel au Maroc ont remis en cause l’adaptation des villes marocaines aux changements et aux crises climatiques. La construction de ces deux villes vertes et résilientes présente un double enjeu environnemental et économique. Si le Royaume chérifien a fait preuve de résilience en matière de secours, les besoins financiers sont importants pour une reconstruction rapide et écologique.
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Le prêt octroyé au Maroc par le FMI s’inscrit dans le cadre d’une facilité pour la résilience et la soutenabilité (RSF) qui vise à accompagner la croissance des États, conformément à l’une de ses trois missions régaliennes. Cet appui va permettre la mise en œuvre de plusieurs projets verts aussi bien à Marrakech que dans d’autres villes, comme Rabat et Casablanca.
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Les 1.3 milliards de dollars octroyés aux autorités marocaines après le séisme daniel vont aussi servir à la construction de nouvelles routes et infrastructures ainsi que de nouveaux bâtiments qui prennent en compte le milieu naturel et les matériaux durables. 50 000 maisons d’habitation seront également reconstruites pour permettre de reloger les citoyens qui ont perdu leurs domiciles le 8 septembre dernier.
