Le financement octroyé par la banque mondiale entre dans le cadre du projet de développement du tourisme vert, résilient et transformationnel avec pour objectif d’améliorer la gouvernance du secteur en investissant dans la réforme réglementaire. La Banque mondiale estime à 40% les ressources naturelles de la Zambie, ce qui fait d’elle une base solide pour sa croissance économique et ses stratégies de réduction de la pauvreté. Or, plusieurs zones touristiques souffrent d’une mauvaise accessibilité et de la dégradation de l’environnement. « L’activité économique diversifiée basée sur la nature et les investissements du secteur privé créeront des emplois et protégeront la nature », a déclaré Sahr Kpunden, Directeur national de la Banque mondiale pour la Zambie.
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La Banque mondiale a le projet de renforcer les capacités des principales agences sectorielles du pays. C’est dans cette optique que la Vision 2030 et les priorités du Huitième plan de développement national (8NDP) du gouvernement gambien, le projet permettra d’accroitre les opportunités économiques dans les destinations touristiques émergentes zambiennes telles que le parc national de Liuwa Plains, la Source of the Zambezi et la Baie de Kasaba.
Les fonds débloqués par l’institution seront également consacrés à l’engagement des parties prenantes, au financement d’infrastructures de base essentielles et à l’octroi de subventions de contrepartie aux communautés pour des investissements dans l’économie en lien avec la nature.
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L’économie basée sur la nature en Zambie couvre en plus de nombreux secteurs et offre de multiples avantages sur le plan social, économique, fiscal et environnemental.
