Les villes en proie à ces inondations se trouvent dans le Sud-Est et dans la région du centre. Là-bas, les populations souffrent énormément chaque fois que les pluies recommencent. A ce jour, plusieurs dégâts matériels et même des pertes en vie humaine ont déjà été enregistré. L’utilisation du modèle numérique de terrain sur l’ensemble du territoire national a révélé que toutes ces villes en proie aux inondations sont construites sur des zones basses, des voies d’eau, des cuvettes ou encore sur des lits de cours d’eau.
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L’étude du MNT repose sur une modélisation numérique qui consiste à enlever les bâtiments et les arbres, à la surface plane de la terre, pour identifier uniquement les cours d’eau de l’ensemble du territoire national. « Avec ce système informatique, nous avons la possibilité de faire une simulation d’importantes pluies dans une ville donnée, dans le but d’avoir une idée exacte des dégâts matériels et des quartiers inondables », explique, le directeur de la Prévention et de gestion des inondations (DPGI).
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Ces études sont réalisées dans le cadre du Projet de gestion intégrée des inondations au Sénégal (PGIIS) logé à la direction de prévention et de gestion des inondations (DPGI), un service rattaché au ministère de l’Eau et de l’Assainissement. les 29 villes vulnérables au Sénégal comptent environ 2 millions d’habitants exposés à des phénomènes d’inondations de pluies extrêmes.
