Le rapport s’articule principalement sur les les mesures que les gouvernements africains devraient prendre afin d’attirer des investissements plus importants et combler cette lacune de financement. En effet, ces gouvernements
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et leurs partenaires doivent être capables d’améliorer l’information destinée aux investisseurs, de renforcer les capacités des institutions africaines de financement du développement et aussi de promouvoir des projets régionaux. Le rapport estime que la croissance réelle du PIB de l’Afrique devrait atteindre 3,7% en 2023 et qu’en plus de cela, le continent possède des atouts humains et naturels uniques susceptibles d’amener plus d’investisseurs.
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Toutefois, malgré le potentiel d’investissement dans le capital naturel de l’Afrique, les crises mondiales ont eu un impact négatif sur les investissements en Afrique par rapport à d’autres régions du monde. Les statistiques de l’Afrique dans les investissements directs étrangers (IDE) mondiaux en création d’entreprises montrent une chute de 6% en 2020-21. Or, le continent requiert deux fois plus d’investissements dans les secteurs des énergies renouvelables. Pour conclure, le rapport suggère que l’écart de financement durable peut être comblé si seulement 2,3% des actifs financiers mondiaux étaient alloués à l’Afrique d’ici 2030.
