L’étude qui nous livre que la Terre est e danger a été réalisée par le groupe international de scientifiques Earth Commission et publiée dans la revue scientifique Nature la semaine dernière. L’étude fait état de la situation du climat, de la pollution atmosphérique, la contamination de l’eau par le phosphore et l’azote. Ceci due entre autres par l’utilisation abusive d’engrais, les réserves d’eau souterraine, les eaux douces et de surface, l’environnement naturel non construit par l’homme dans son ensemble.
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Il ressort du rapport que les « points chauds » de la Terre se retrouvent principalement en Europe de l’Est, en Asie du Sud et Sud-Ouest, au Moyen-Orient, en Afrique, au Brésil, au Mexique, en Chine et dans la partie ouest des Etats-Unis. Ces zones sont les raisons des changements climatiques. Ces zones sont également enregistrées comme zones fortement polluées de la planète Terre.
Toutefois, la pollution de l’air est la seule qui n’a pas atteint le seuil de dangerosité à l’échelle mondiale. Elle n’est dangereuse que sur le plan local et régional face au climat qui a dépassé les niveaux nocifs pour les habitants et pour la ligne directrice de sécurité de la Terre.
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En plus d’établir les raisons du dérèglement des garde-fous de l’écosystème planétaire, l’article inclut des mesures de « justice » c’est-à-dire les moyens de prévention. La planète peut justement se rétablir si elle adopte des mesures saines à savoir l’utilisation du charbon, du pétrole et du gaz naturel, un meilleur traitement de la surface terrestre et aquatique.
