L’allocution du président s’est portée sur les changements climatiques, leurs impacts et les moyens de s’adapter principalement dans les pays du sud. Avec 80% de la population mondiale, le G77 offre un forum essentiel pour que les pays du Sud puissent s’exprimer d’une seule voix sur la question.
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La COP28 proposera un plan d’action à la fois ambitieux et pratique, « axé sur des résultats qui répondent aux besoins des pays du Sud », a déclaré le président désigné. La COP28 va accélérer la transition énergétique, les énergies renouvelables vont tripler, la production d’hydrogène va doubler ce qui va nécessairement augmenter l’efficacité énergétique tout en réduisant l’utilisation des combustibles fossiles. L’objectif est de garantir aux populations des pays du sud, l’abordabilité, l’accessibilité et la sécurité de l’énergie, tout en maintenant le développement socio-économique.
D’autres solutions concrètes de la COP28 comme la production d’un plan d’action qui relancera chacun des piliers de l’action climatique seront implémentées. Le problème majeur de la mise en place des projets dans les pays du sud est l’accès au financement. Le président s’est engagé à résoudre ce problème de manière concrète car l’urgence de financer les projets climatiques est primordiale. Les financements doivent être disponibles, plus accessibles et plus abordables. Pour l’heure, 100 milliards de dollars sont attendus depuis longtemps.
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C’est une grande première pour la COP28 qui « s’attaquera aux impacts du changement climatique et aux moyens de subsistance en plaçant l’alimentation, la santé et la nature au cœur de la COP », a ajouté Dr Al Jaber, rappelant aux dignitaires réunis qu’à la COP27, « l’unité du G77 était essentiel pour obtenir un résultat historique sur les pertes et dommages».
