Les images pilules sur les réseaux et autres médias sociaux montrent des images insoutenables des plages du Ghana. Les déchets textiles en provenance du vieux continent ont créé une grosse décharge. Pour créer un impact considérable et même stopper ces exportations européennes, les rapports, documentaires, reportages ont relayé des informations sur les dangers liés à la dissémination de fibres plastiques dans l’environnement et même du danger qu’elles représentent pour la santé des populations locales et des milieux aquatiques.
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Un document diffusé le 19 décembre 2022 sur France 5 montre des association comme la Croix Rouge qui collecte tous ces déchets dans le but de ne nuire ni à la santé des animaux aquatiques ni à celle populations. Ces associations ont pour objectif d’éviter toute forme de pollution liée à ces vieux vêtement venus d’Europe et dont la grande partie est parachutée en Afrique.
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Les statistiques et les enquêtes de terrain nous rappellent à une réalité physique : la fast fashion n’a pas le pouvoir de se volatiliser. On ne fait pas augmenter exponentiellement la production textile sans conséquences matérielles. En plus de ses impacts sociaux et environnementaux dramatiques lors de la phase de fabrication, la surproduction textile génère une quantité de déchets que les pays occidentaux, ne sont pas en mesure de prendre en charge.